comment faire une remise

Comment faire une remise : la méthode efficace pour l’appliquer en entreprise

Sommaire

La pression de la jungle économique, ça vous parle ? Les prix, éternelle énigme : deux secondes d’inattention et la concurrence se faufile. Voilà le décor. Et au beau milieu, il y a la remise professionnelle – pas la petite réduction qu’on balance un dimanche de pluie, mais bien un levier qui pèse dans la balance, celui qu’on actionne quand l’instinct flair que ça va être chaud. Mais attention : qui n’a jamais croisé ce null effet commercial, ce moment étrange où la remise grignote tout sur son passage jusqu’à tout effacer, ne laisse plus aucune valeur ? Ce n’est pas juste une remise comme sur la dernière croûte à vendre sur un vide grenier, non, la vraie, celle qui fait réfléchir, qui déroule le tapis rouge au client et ne ruine pas en même temps la réputation d’une boîte. Des remises, tout le monde en entend parler… mais au fond, qui arrive vraiment à jongler entre la stratégie et le coup de cœur client, sous le regard sévère de l’expert-comptable ? Les subtilités, les vraies manœuvres, c’est rarement au programme des écoles de commerce : le vrai terrain, c’est les réunions qui s’éternisent parce qu’un devis se joue à 42,37 euros près. Qui n’a jamais vécu ce moment bizarre où une remise toute simple déstabilise la négociation ?

Le concept et les types de remises en entreprise

Qui, un jour, n’a pas mélangé remise, rabais, ristourne, persuadé que tout ce beau monde fait exactement la même chose ? Intrigant, non ?

Remise, rabais, ristourne : même combat ? Vraiment ?

Sur chaque facture, chaque devis, la confusion est toujours possible : trois mots qui se ressemblent, mais dont les nuances pèsent lourd, surtout quand la pression monte. Parlons-en. La remise, c’est la réduction immédiate, un face-à-face où chaque pourcentage compte, là, dans la salle de réunion ou au téléphone, pendant que le client regarde ailleurs en jouant avec son crayon. Le rabais, lui, intervient plus tard : colis arrivé en retard, défaut qui agace, hop, remise post-vente, histoire de montrer qu’on a de la considération. Et la ristourne, douce récompense des fidèles : on fait le point en fin d’année ou à la fin du trimestre et, surprise, un petit cadeau s’invite. *Qui n’a jamais hésité en envoyant ce fameux mail au client, oscillant entre le clin d’œil commercial et le désespoir de la marge fondante* ?

L’anecdote revient souvent : un dossier informatique, remise à 10 % sur le lot, le classique des discussions tendues entre deux dates butoirs. Un rabais, si le transporteur s’est trompé de route. Et la grande distribution, fidèle à sa manie de la ristourne, en a fait son pain quotidien (on aime, on râle, mais on y retourne quand même). L’art du dosage, dimension cruciale pour qui veut que la relation client garde ce parfum de sérieux et d’engagement.

Prendre la peine de disséquer les termes : voilà de quoi éviter malentendus et regrets, ceux qui laissent un arrière-goût amer quand la commande a déjà quitté l’entrepôt.

Les principaux types de remises appliquées en entreprise

Là, ça se corse. Remise commerciale classique pour convaincre d’acheter, rabattre la concurrence. Rabais ponctuels, secours immédiat face à un incident. Et, discrète mais redoutablement efficace, la ristourne de fidélité, qui récompense la persévérance du client saison après saison, et donne juste assez envie pour revenir signer l’année d’après. Envie d’un repère ? Il arrive…

Comparatif pratico-pratique – Remise, rabais, ristourne : leurs rôles et leurs moments fétiches

Terme Définition Moment d’application Exemple concret
Remise Réduction commerciale directe sur le prix initial Avant ou lors de la vente Remise de 10% sur une commande groupée
Rabais Réduction en cas de problème (livraison, qualité…) Après la vente Rabais de 15% pour retard de livraison
Ristourne Réduction liée au volume global d’achats sur une période Fin d’année ou de trimestre Ristourne pour un client fidèle ayant dépassé un seuil d’achat

Pourquoi accorde-t-on une remise ? Les vraies raisons

Question piège ou évidence : pourquoi distribuer de la remise quand tout coûte trop cher à produire ? Un lancement de produit – la remise attire, fait parler dans les couloirs, intrigue autant qu’elle rassure. Un débarras express de stock qui menace d’envahir la salle de pause ? Là aussi, elle devient l’alliée du rééquilibrage. En négociation, elle allège parfois simplement la tension. Étonnant : les clients fidèles attendent cette marque d’attention, signe que leur engagement compte vraiment. Et où ont-ils appris qu’une remise, c’est synonyme d’intelligence commerciale, pas de solde par dépit ?

Oublier la remise, c’est prendre le risque de voir dormir des palettes entières dans un entrepôt, et personne n’y gagne – ni l’acheteur, ni le vendeur.

Remise stratégique ou cadeau empoisonné ?

*Toujours ce paradoxe fascinant : la remise attire mais fragilise, conforte mais ébranle les marges*. Un euro de donné, un euro de perdu… jusqu’où aller sans plonger dans les profondeurs de la rentabilité négative ? La loi n’offre pas d’échappatoire : chaque remise affichée en toutes lettres, sans demi-mesure, pour garder les règles du jeu claires comme de l’eau de roche. Traquer le rendement, traquer aussi le retour commercial : qui a déjà fait le pari risqué de liquider une collection en cédant à la pression ? L’équilibre réside entre attirer et préserver l’avenir – parfois, il n’a jamais semblé aussi fragile.

Céder, offrir, mais jusqu’où ? Toute la stratégie se construit là-dessus. Fidéliser, oui, sacrifier demain, non.

La méthode de calcul d’une remise professionnelle

Calcul de remise – oh la la, ce ne sont pas que des chiffres jetés comme ça. Il y a la méthode qui rassure, la rigueur qui protège. Et pour ceux qui paniquent à l’idée de sortir la calculette, une formule simple existe.

Quelle est la formule magique du calcul ?

La recette ? Prix initial multiplié par (1 moins le taux de remise divisé par 100). Rien de farfelu. On réfléchit posé : HT ou TTC, selon la situation. Taux pour le clin d’œil universel, montant fixe pour les clients qui aiment la négociation qui va droit au but. À force, ce geste devient réflexe, comme appuyer sur l’interrupteur en entrant dans une pièce sombre.

Pourcentage ou montant ? Le bon mode d’emploi

L’éternelle question. Le pourcentage, tout le monde suit, personne ne râle sur la méthode. Le montant fixe, la porte s’ouvre sur la négociation sur mesure, adaptée à la grosse commande ou au cas particulier. Adopter le bon mode, c’est montrer à la clientèle qu’on ne joue pas sur du standardisé. Ce geste donne du poids à la relation, en la rendant unique.

Des outils pour automatiser, de la rigueur et du temps gagné

Qui a encore envie de faire ses calculs à la main, un jeudi soir à 21h ? Les logiciels CRM, Excel version génie, outils en ligne : la technologie offre de tout ! L’automatisation donne confiance et crédibilité : le client ne trouve pas d’erreur, l’équipe non plus. Que demander de plus ?

  • Excel : l’inusable, roi du calcul de remise pour les pressés
  • Tableau de bord CRM, pour du reporting (presque) agréable
  • Outil web simple, qui évite de convertir le devis en gribouillis

Cas d’école : attention aux remises multiples !

Faux pas courant : additionner les remises comme si les pourcentages s’empilaient. Erreur classique ! D’abord 15%, puis 5% sur le nouveau montant, pas sur l’original. Rien ne sert de courir, il faut calculer à point. Produit isolé ou commande complète, à chacun sa règle, son explication, pour que le client reste dans la lumière, jamais dans la brume.

Exemples concrets de calcul – du simple au corsé

Prix initial Taux/Montant de remise Type de remise Montant final facturé
1 000 euros 10% Remise en pourcentage 900 euros
2 500 euros 300 euros Remise en valeur 2 200 euros
5 000 euros 15% puis 5% Remises successives 4 037,50 euros

Les bonnes pratiques pour appliquer et formaliser une remise

Loin du gadget, la formalisation est le rempart contre l’incompréhension. Rien de pire que la fameuse ligne de remise qui se glisse à la dernière minute et qui provoque la confusion. Vous sentez ce petit frisson ? Personne ne veut d’un litige à cause d’une virgule manquante.

Comment afficher une remise ? Transparence, toujours

Sur chaque devis, chaque facture, la remise doit surgir, lumineuse, claire, sans détour. Afficher –10 %, pas en petit, mais au cœur du document : tout le monde respire. Les obligations légales réclament cette lisibilité. Répondre à la question avant qu’elle ne soit posée, c’est ça aussi, la bonne communication.

Quels sont les pièges à surveiller ?

Sécuriser la démarche, c’est préparer la paix. Montrer les prix avant et après la remise, dès le devis : c’est la base. Garder des traces, même de ce qui paraît anecdotique, c’est l’assurance anti-mauvaise surprise. En coulisses, la comptabilité traque l’erreur possible, compare les consignes à chaque ligne. Le suivi des remises, c’est la ceinture sécurité de la politique commerciale.

Faut-il justifier chaque remise ? La règle d’or

Parfois, la tentation est grande de faire plaisir sans compter. Mauvaise idée. La stratégie impose de cadrer : chaque réduction doit répondre à un objectif clair. Savoir dire stop, c’est préserver la trésorerie – mais surtout, reconnaître qu’un oui systématique, ce n’est pas forcément un bon service. La remise, outil, pas pansement sur un malaise sous-jacent.

Comment analyser l’efficacité des remises ?

L’analyse, c’est l’étape oubliée des pressés. Lister, filtrer, comparer – chaque remise trouve sa place et raconte une partie de l’histoire. Les outils modernes font remonter les excès, révèlent les bons coups. Reste à se demander : cette remise, redonne-t-elle du souffle à l’entreprise ou grignote-t-elle la rentabilité ? La réponse ne tient souvent qu’à quelques chiffres – oser les regarder en face, voilà le vrai courage commercial.

Partager cette article sur :

Sommaire